ALIEN WEAPONRY de retour avec un nouvel album !

Sur Te Rā, les auditeurs peuvent entendre le groupe doubler d’agressivité dans les couplets avant d’appliquer une certaine tempérance, en particulier dans le cas de « Taniwha », un banger orienté vers le Death Metal avec la voix particulièrement crue de Randy Blythe. Sur le plan lyrique, Te Rā est marqué par une tendance à l’abattement, au désespoir et à la frustration. Alors que les paroles en māori du bassiste Tūranga Porowini Morgan-Edmonds sur des chansons comme « Tama-nui-te-rā » et « Ponaturi » évoquent les thèmes de l’histoire, des batailles et du mysticisme qui ont fait la richesse des deux premiers albums, les paroles en anglais du leader / guitariste Lewis Raharuhi de Jong illustrent l’impact de la collision entre la culture et la privation de droits au jour le jour.

« Crown » et « Hanging by a Thread » nous plongent dans l’espace mental où la lutte pousse les gens au bord du désespoir, tandis que sur « Blackened Sky » et « 1000 Friends », Lewis aborde des problèmes universels tels que la menace imminente de la troisième guerre mondiale et les effets néfastes des médias sociaux. Sur « Te Kore », qui clôt l’album, Tūranga plonge dans le néant primordial situé à la base de l’histoire des origines Māori, tandis que sur « Mau Moko », il trouve un juste équilibre entre ces deux perspectives. Dans l’ensemble, Te Rā s’attaque à ce que c’est que d’être pris dans l’attraction de cultures divergentes – pas seulement pour les descendants des peuples colonisés, mais pour chacun d’entre nous.

ALIEN WEAPONRY s’est consolidé comme l’un des meilleurs jeunes groupes de Metal de sa génération avec une ténacité musicale renouvelée et des messages cruciaux. Te Rā est un cri audacieux et inébranlable en faveur d’un avenir dans lequel nous pouvons tous prendre part à l’héritage de peuples comme les Māori et d’autres autour de nous – des gens qui, s’ils ne sont pas vus, ont certainement besoin d’être entendus.

Lewis Raharuhi de Jong, frontman/guitariste d’ALIEN WEAPONRY, ajoute :

« Nous avons vraiment progressé cette fois-ci car nous avons compris que cet album devait aller plus loin. Nous avons passé en revue un grand nombre de chansons et en avons supprimé des parties entières. Nous avons continué à les travailler et à les retravailler jusqu’à ce qu’elles soient parfaites. Ensuite, vu la façon dont nous nous mettions à l’épreuve musicalement, je savais qu’il était important de me mettre aussi au défi sur le plan des paroles. Cette fois, j’ai plongé dans des lieux émotionnels et des états mentaux difficiles. L’album est empreint d’une grande peur existentielle, et j’ai essayé de trouver les mots justes pour décrire l’indescriptible. »