Interview avec Acidula Crèvecoeur du groupe Ravage Club !
Acidula Crèvecoeur a bien voulu répondre à quelques questions dans un moment de confidence autour de leur nouveau morceau « TakoTsubo »
Bonjour à tous, je vous remercie avant tout d’avoir accepté de faire cette interview pour Metal Rock Magazine. Comment allez-vous ?
Ça va! Là on est en pause de concerts; on fait du sport et on compose de nouvelles chansons pour le premier album. C’est hyper excitant d’ouvrir un nouveau chapitre!
Pouvez-vous vous présenter rapidement à tous ceux qui ne vous connaissent pas encore ?
On fait du rock indé à tendance punk, « à l’anglaise » mais chanté/crié en français. Une voix masculine et une voix féminine. C’est notre projet à Vinz et moi, mais on a des supers copains/musiciens qui nous accompagnent sur scène: Hughes et Vincent.
Quelles sont vos principales influences ?
On peut citer Sex Pistols, Iggy Pop, les Libertines, le Clash, Nirvana, Arctic Monkeys… Niveau textes, plutôt Boris Vian, Jacques Prévert, Bashung, Nekfeu ou Deportivo. J’ai aussi une grande passion pour Michel Audiard. Le cinéma a une place très importante dans notre vie. L’atmosphère musicale ou le thème d’une chanson peuvent éclore d’un film. On a par exemple un morceau récent qui s’appelle « Touche pas au grisbi » Visuellement, c’est pareil, on ne conçoit pas l’identité de Ravage Club sans références cinématographiques.
J’adore le fait que vous chantez en français ! C’est rare que les groupes prennent cette décision. Pourquoi avoir choisi de faire ça ?
C’est notre langue, on se sent plus sincères, plus nous-mêmes. On peut davantage jouer avec les mots; c’est plus ludique! Pendant le confinement, on a eu le temps de travailler ça en profondeur. Le but était de ne pas dénaturer notre énergie « à l’anglaise », on ne voulait pas que ça sonne trop « rock français ». Aujourd’hui, je ne nous vois plus composer en anglais, impossible de faire marche arrière. Ça vient beaucoup plus des tripes. Et puis j’écris de la poésie dans cette langue depuis toute petite, c’est génial de pouvoir combiner ça avec la musique.
J’ai écoutée et vu le clip « Sans toi » sans mentir le refrain ça ma reste dans la tête pendant quelques heures ! Vous avez des anecdotes par apport le texte ou même le clip?
On a tourné ce clip dans le meilleur bar du monde, « Le Drugstore » à Lille, qui est notre deuxième maison. C’est le lieu de rendez-vous des artistes de la ville, des âmes à part, en décalage avec le commun des mortels. On y a travaillé (Vinz pendant 6 ans!) avant d’être intermittents. Même le réalisateur du clip, Paul-Étienne Luca, y a bossé. Quant au texte, il parle de lui-même, c’est une chanson d’après rupture… le moment long, trop long, où l’on survit comme on peut, le coeur brisé, souvent imbibé d’alcool…, jusqu’à ce que finalement, avec le temps, tout aille mieux, l’amour de soi revienne, l’air de rien.. car il y a de l’espoir dans cette chanson.
Quel est votre morceau préféré et pourquoi ?
C’est un tout nouveau morceau, que vous pourrez bientôt entendre en live. Il s’appelle « Tako-Tsubo ». Après, j’ai forcément une affection toute particulière pour « Ecchymoses », qui est la plus personnelle.
Quels sont vos projets à venir ?
Devenir meilleurs et sortir un bête de premier album.
Prochains concert organisés ?
On tourne avec Tagada Jones et Darcy au mois de novembre, on a trop hâte, ce sera la première fois qu’on dormira dans un Tourbus!
Je vous remercie infiniment d’avoir pris le temps de répondre à mes questions ! Avant de nous quitter, voulez-vous ajouter autre chose ?
Oasis.
Bonjour à tous, je vous remercie avant tout d’avoir accepté de faire cette interview pour Metal Rock Magazine. Comment allez-vous ?
Ça va! Là on est en pause de concerts; on fait du sport et on compose de nouvelles chansons pour le premier album. C’est hyper excitant d’ouvrir un nouveau chapitre!
Pouvez-vous vous présenter rapidement à tous ceux qui ne vous connaissent pas encore ?
On fait du rock indé à tendance punk, « à l’anglaise » mais chanté/crié en français. Une voix masculine et une voix féminine. C’est notre projet à Vinz et moi, mais on a des supers copains/musiciens qui nous accompagnent sur scène: Hughes et Vincent.
Quelles sont vos principales influences ?
On peut citer Sex Pistols, Iggy Pop, les Libertines, le Clash, Nirvana, Arctic Monkeys… Niveau textes, plutôt Boris Vian, Jacques Prévert, Bashung, Nekfeu ou Deportivo. J’ai aussi une grande passion pour Michel Audiard. Le cinéma a une place très importante dans notre vie. L’atmosphère musicale ou le thème d’une chanson peuvent éclore d’un film. On a par exemple un morceau récent qui s’appelle « Touche pas au grisbi » Visuellement, c’est pareil, on ne conçoit pas l’identité de Ravage Club sans références cinématographiques.
J’adore le fait que vous chantez en français ! C’est rare que les groupes prennent cette décision. Pourquoi avoir choisi de faire ça ?
C’est notre langue, on se sent plus sincères, plus nous-mêmes. On peut davantage jouer avec les mots; c’est plus ludique! Pendant le confinement, on a eu le temps de travailler ça en profondeur. Le but était de ne pas dénaturer notre énergie « à l’anglaise », on ne voulait pas que ça sonne trop « rock français ». Aujourd’hui, je ne nous vois plus composer en anglais, impossible de faire marche arrière. Ça vient beaucoup plus des tripes. Et puis j’écris de la poésie dans cette langue depuis toute petite, c’est génial de pouvoir combiner ça avec la musique.
J’ai écoutée et vu le clip « Sans toi » sans mentir le refrain ça ma reste dans la tête pendant quelques heures ! Vous avez des anecdotes par apport le texte ou même le clip?
On a tourné ce clip dans le meilleur bar du monde, « Le Drugstore » à Lille, qui est notre deuxième maison. C’est le lieu de rendez-vous des artistes de la ville, des âmes à part, en décalage avec le commun des mortels. On y a travaillé (Vinz pendant 6 ans!) avant d’être intermittents. Même le réalisateur du clip, Paul-Étienne Luca, y a bossé. Quant au texte, il parle de lui-même, c’est une chanson d’après rupture… le moment long, trop long, où l’on survit comme on peut, le coeur brisé, souvent imbibé d’alcool…, jusqu’à ce que finalement, avec le temps, tout aille mieux, l’amour de soi revienne, l’air de rien.. car il y a de l’espoir dans cette chanson.
Quel est votre morceau préféré et pourquoi ?
C’est un tout nouveau morceau, que vous pourrez bientôt entendre en live. Il s’appelle « Tako-Tsubo ». Après, j’ai forcément une affection toute particulière pour « Ecchymoses », qui est la plus personnelle.
Quels sont vos projets à venir ?
Devenir meilleurs et sortir un bête de premier album.
Prochains concert organisés ?
On tourne avec Tagada Jones et Darcy au mois de novembre, on a trop hâte, ce sera la première fois qu’on dormira dans un Tourbus!
Je vous remercie infiniment d’avoir pris le temps de répondre à mes questions ! Avant de nous quitter, voulez-vous ajouter autre chose ?
Oasis.
Bonjour à tous, je vous remercie avant tout d’avoir accepté de faire cette interview pour Metal Rock Magazine. Comment allez-vous ?
Ça va! Là on est en pause de concerts; on fait du sport et on compose de nouvelles chansons pour le premier album. C’est hyper excitant d’ouvrir un nouveau chapitre!
Pouvez-vous vous présenter rapidement à tous ceux qui ne vous connaissent pas encore ?
On fait du rock indé à tendance punk, « à l’anglaise » mais chanté/crié en français. Une voix masculine et une voix féminine. C’est notre projet à Vinz et moi, mais on a des supers copains/musiciens qui nous accompagnent sur scène: Hughes et Vincent.
Quelles sont vos principales influences ?
On peut citer Sex Pistols, Iggy Pop, les Libertines, le Clash, Nirvana, Arctic Monkeys… Niveau textes, plutôt Boris Vian, Jacques Prévert, Bashung, Nekfeu ou Deportivo. J’ai aussi une grande passion pour Michel Audiard. Le cinéma a une place très importante dans notre vie. L’atmosphère musicale ou le thème d’une chanson peuvent éclore d’un film. On a par exemple un morceau récent qui s’appelle « Touche pas au grisbi » Visuellement, c’est pareil, on ne conçoit pas l’identité de Ravage Club sans références cinématographiques.
J’adore le fait que vous chantez en français ! C’est rare que les groupes prennent cette décision. Pourquoi avoir choisi de faire ça ?
C’est notre langue, on se sent plus sincères, plus nous-mêmes. On peut davantage jouer avec les mots; c’est plus ludique! Pendant le confinement, on a eu le temps de travailler ça en profondeur. Le but était de ne pas dénaturer notre énergie « à l’anglaise », on ne voulait pas que ça sonne trop « rock français ». Aujourd’hui, je ne nous vois plus composer en anglais, impossible de faire marche arrière. Ça vient beaucoup plus des tripes. Et puis j’écris de la poésie dans cette langue depuis toute petite, c’est génial de pouvoir combiner ça avec la musique.
J’ai écoutée et vu le clip « Sans toi » sans mentir le refrain ça ma reste dans la tête pendant quelques heures ! Vous avez des anecdotes par apport le texte ou même le clip?
On a tourné ce clip dans le meilleur bar du monde, « Le Drugstore » à Lille, qui est notre deuxième maison. C’est le lieu de rendez-vous des artistes de la ville, des âmes à part, en décalage avec le commun des mortels. On y a travaillé (Vinz pendant 6 ans!) avant d’être intermittents. Même le réalisateur du clip, Paul-Étienne Luca, y a bossé. Quant au texte, il parle de lui-même, c’est une chanson d’après rupture… le moment long, trop long, où l’on survit comme on peut, le coeur brisé, souvent imbibé d’alcool…, jusqu’à ce que finalement, avec le temps, tout aille mieux, l’amour de soi revienne, l’air de rien.. car il y a de l’espoir dans cette chanson.
Quel est votre morceau préféré et pourquoi ?
C’est un tout nouveau morceau, que vous pourrez bientôt entendre en live. Il s’appelle « Tako-Tsubo ». Après, j’ai forcément une affection toute particulière pour « Ecchymoses », qui est la plus personnelle.
Quels sont vos projets à venir ?
Devenir meilleurs et sortir un bête de premier album.
Prochains concert organisés ?
On tourne avec Tagada Jones et Darcy au mois de novembre, on a trop hâte, ce sera la première fois qu’on dormira dans un Tourbus!
Je vous remercie infiniment d’avoir pris le temps de répondre à mes questions ! Avant de nous quitter, voulez-vous ajouter autre chose ?
Oasis.