NILE, les icônes du Death Metal Américain de renommée mondiale, reviennent le 23 aout 2024 avec un dixième Opus très attendu « The Underworld awaits us all » via NAPALM RECORDS. Une fois de plus produit et enregistré dans les studios Serpent Headed de Sanders, à Greenville en Caroline du Sud, le groupe est revenu également à l’ingénieur Vile Nilotic Rites, Mark Lewis (Cannibal Corpse,
Whitechapel…) pour le mixage et le Mastering.
STELAE OF VULTURES : Dès le premier morceau de l’album on prend une bonne claque, l’effet est immédiat, des guitares dissonantes, une force de frappe exceptionnelle, des cris et un chant guttural puissants. Une véritable éviscération auditive.
CHAPTER FOR NOT BEING HUNG UPSIDE DOWN ON STAKE IN THE UNDERRWORLD AND MADE TO EAT FECES BY THE FOUR APES : Une batterie extrême, une puissance de riffs avec des sonorités bien grave et Thrash, un solo acérés. Le guttural emblématique de NILE.
TO STRIKE WITH SECRET FANG : Un des morceaux les plus court de l’album mais pas moins intensif bien au contraire, un titre à l’inspiration Death metal noircie, c’est Dark à souhait !
NAQADA II ENTER THE GOLDEN AGE : un morceau à la belle expérimentation Thrash, l’extrême de l’extrême à la batterie, des lignes de riffs percutantes, une basse bien audible et grave !
THE PENTAGRAMMATHION OF NEPHREN-KA : le second titre le plus court sur cet opus, une ambiance légèrement arabisante, Une interlude évasive presque hypnotique.
OVERLORDS OF THE BLACK EARTH : On retrouve cette force technique, cette batterie extrême, un morceau au rythme effréné, un passage de chœurs chantant à la limite de l’incantation apportant une part plus sombre. Une perfection !
UNDER THE CURSE OF THE ONE GOD : L’atmosphère est plus que sinistre sur ce morceau une véritable acrobatie se joue dans les riffs qui se révèlent tourbillonnant, vicieux, agrémenté du chant guttural bien grave.
DOCTRINE OF LAND THINGS : Ce morceau se révèle être d’une technicité implacable, la variations des rythmes, du chant, une belle palette complexe qui nous offre un titre d’une excellence remarquable.
TRUE GODS OF THE DESERT : dés les premières secondes la tonalité des riffs est prenante, c’est grave, enivrants. Ce morceau est pour ma part un des meilleurs de l’album ! Il est aussi sombre que percutant.
THE UNDERWORLD AWAITS US ALL : avant dernier titre de l’album et l’un des plus long également, on embarque pour huit minutes de batterie déferlante, de riffs percutants, de chant guttural bien rauque, un morceau qui montre bien toute la puissance et la
technicité de NILE.
LAMENT FOR THE DESTRUCTION OF TIME: Pour ce morceau de clôture d’album, on est sur quelques choses de tout autant sinistre mais avec une ligne directive un peu plus posé et de l’instrumental essentiellement, jusqu’à ce que surgisse une voix féminine qui s’élève de façon presque angélique vers la moitié du titre. Toute la puissance et l’émotion se fait ressentir dans chaque riffs qui compose cette merveille.
NILE nous offre là un bien bel album, composés de onze morceaux percutants et complexes. 30ans de règne pour NILE, « The underworld awaits us all » prouve juste que NILE en a non seulement pas terminer mais également qu’il se place sans aucun doute sur les plus hauts sommets. NILE répandra son œuvre aussi longtemps que les sables du temps le permettront. Une masterclass de brutalité !
NILE – « The underworld awaits us all »
23 AOUT 2024
NAPALM RECORDS