Dimanche 1er décembre 2024, l’Accor Arena a été le théâtre d’une soirée mémorable où Hollywood Undead et Falling in Reverse ont uni leurs forces pour offrir au public parisien une expérience inoubliable.
La soirée s’ouvre avec Hollywood Undead, qui fait monter la température dès les premières minutes. Avec des classiques comme Everywhere I Go et Undead, le groupe déploie son énergie unique, mêlant rap-rock et refrains accrocheurs. Chaque membre du groupe illumine la scène avec son style distinct, transformant l’arène en un chaudron d’énergie brute.
Entre les sets, un moment particulièrement émouvant marque l’ambiance : la diffusion d’une chanson de Linkin Park. Les paroles, résonnant à travers la salle, créent une communion intense parmi les spectateurs, rendant hommage à la mémoire de Chester Bennington et rappelant l’empreinte indélébile du groupe sur le rock moderne.
Falling in Reverse, mené par l’incontournable Ronnie Radke, monte sur scène dans une entrée cinématique accompagnée d’un extrait d’AC/DC.
Les écrans géants diffusent une vidéo montrant le groupe se dirigeant vers la scène, une mise en scène spectaculaire qui accroît l’attente du public. Le set commence en force avec Presquel, un titre emblématique qui encapsule l’intensité émotionnelle et la puissance sonore du groupe.
Bien que le show semble minutieusement réglé, avec des phrases et des blagues répétées d’un concert à l’autre, l’énergie sur scène reste inégalée. Ronnie Radke sait parfaitement captiver son public, peu importe que le scénario soit rodé.
La setlist a ensuite enchaîné avec des morceaux emblématiques comme Losing My Mind, The Drug In Me Is You et Situations (de son ancien groupe Escape the Fate).
Un moment théâtral s’emmêle au show, où Ronnie part et s’arrête derrière la scène, un mime l’attends. C’est à ce moment qu’il prends un chapeau de cow boy pour passé à la dernières partie du concert.
Les notes de All my life s’enchaine, le public est aux anges. Suivi par Popular Monster et Voices in my Head. C’est d’ailleurs ces morceaux issu de l’album Popular Monster, qui ont marqué un tournant mondial dans la carrière du groupe.
Alors que le concert approchait de sa fin, un morceau a intensifié l’atmosphère et fait monter la tension d’un cran : Ronald . Mais c’est au moment de Watch the world burn que le show a atteint son apogée. Tout Bercy chantait en choeur le break emblématique ou Ronnie hurle «Watch the world burn».
Le groupe, a même repris deux fois ce passage, offrant au public un moment suspendu.
La fin du concert sonne, Radke explose son micro au sol.
Le groupe part, et We are the champion de Queen résonne, un cameraman suit Ronnie lors de sa sortie de scène.
Le show est terminé.
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